Préparation huiles essentielles pour décalage horaire:
Voici les consignes pour un décalage horaire de + de 5 heures:
faire une synergie de
– Huile essentielle de Basilic exotique : 1 ml
– » » » camomille noble : 1 ml
– essence de mandarine : 3 ml.
Pour info : 20 gouttes = environ 1 ml
1) Le matin même du vol prendre 3 gouttes en sublingual + 3 gouttes sur les poignets ( on met les 3 gouttes sur 1 poignet, puis on frotte le second dessus enfin on met les 2 poignets sous les narines , les mains entourant le nez et on inspire profondément plusieurs fois ).
2) Quand on s’installe dans l’avion on recommence
3) idem ensuite toutes les 4 heures.
21 CARACTÉRISTIQUES D’UNE ÂME QUI S’ÉVEILLE
Publié par La PresseGalactique.org le 22 mai, 2013 sous CONSCIENCE |
Peut-être est-ce à cause du changement de conscience global, une destiné à laquelle nous sommes arrivés à cause d’une évolution spirituelle, ou le résultat de temps étranges, mais de nombreuses personnes, partout dans le monde, traversent d’intenses changements personnels et ressentent une expansion de conscience. Des changements personnels de cette magnitude peuvent être difficiles à reconnaître et à comprendre, mais voici 21 caractéristiques d’une âme qui s’éveille, d’une personne « sensitive » ou d’une personne « empathique » (quelqu’un qui ressent les émotions des autres).
1. Le fait d’être dans des endroits publics peut quelquefois être accablant. Puisque les murs entre nous et les autres se dissolvent, nous n’avons pas tout à fait appris comment distinguer l’énergie des autres et la nôtre. Si l’humeur générale de la foule est semblable à celle d’un troupeau ou est négative, nous le ressentons intensément et nous voulons nous retirer dans notre propre espace privé. Lorsque nous avons rechargé nos piles, avec la méditation, en passant du temps dans la nature, loin des autres personnes, ou lorsque nous nous assoyons simplement en contemplation tranquille, nous sommes prêts alors à retourner dans la foule. Dans les relations personnelles, nous ressentons souvent les émotions de l’autre comme si elles étaient nôtres. Il est important d’avoir un sens élevé d’empathie, mais nous devons apprendre à permettre à l’autre d’avoir des émotions, tout en les observant et en gardant notre empathie mais, il faut réaliser que ce ne sont pas toutes les émotions qui nous appartiennent. L’influence sociale peut affaiblir notre propre sagesse innée.
2. Nous « savons » des choses, sans les comprendre intellectuellement. Cela est souvent appelé conscience intuitive, nous avons des moments de perspicacité qui peuvent expliquer les plus complexes des théories ou des phénomènes dans le monde. Quelques-uns des esprits les plus brillants de notre temps … « savent » … tout simplement. Les adeptes et les sages ont souvent reçu de l’information, venant des états élevés de conscience, après avoir médité ou simplement en étant en présence d’un individu plus conscient ; cela arrive à beaucoup plus de gens et de plus en plus fréquemment. Au fur et à mesure que nous faisons confiance à notre intuition, cela devient de plus en plus fort. C’est le temps de « penser » avec notre cœur, plus qu’avec notre tête. Notre intuition ne peut plus être ignorée. Nos rêves deviennent prémonitoires et éventuellement nos pensées conscientes le deviendront elles aussi.
3. Le fait de regarder la télévision ou la plupart des médias de masse, incluant les journaux et de nombreux films Hollywood, tout cela devient très désagréable pour nous. La mentalité qui crée une grande partie des émissions de télévision et de films au cinéma, devient odieuse pour nous. Cela transforme les gens et fait la promotion de la violence. Cela réduit notre intelligence et engourdit notre réponse empathique naturelle envers quelqu’un qui souffre.
>4. Nous mentir devient pratiquement impossible. Nous ne savons pas exactement quelle vérité nous est cachée, mais nous pouvons dire (grâce à notre intuition qui se développe et nos talents de perceptions extrasensorielles) que quelque chose cloche. Nous savons aussi quelles autres émotions, sentiments de peur, d’amour ne sont pas exprimées par les autres. Les autres sont comme un livre ouvert pour nous. Malgré le fait que nous n’avons pas d’entraînement, nous sommes observateurs et nous savons. Même s’il n’y a aucun indice physique, nous pouvons regarder les autres dans les yeux et savoir ce qu’ils ressentent.
5. Nous pouvons « attraper » les symptômes de rhume des autres, tout comme certains hommes ont des nausées matinales, lorsque leur femme est enceinte. La souffrance sympathique, qu’elle soit émotionnelle ou physique, est quelque chose que nous expérimentons souvent. Nous avons tendance à absorber l’émotion à travers le plexus solaire, considéré comme l’endroit où nous emmagasinons l’émotion et lorsque nous sommes en période d’apprentissage pour renforcer ce chakra, il se peut que nous connaissions des problèmes digestifs. Le fait de s’ancrer à la Terre peut aider à rétablir notre centre émotionnel. Une bonne façon de s’ancrer à la Terre est de marcher pieds nus.
6. Nous avons tendance à prendre parti pour les perdants, pour ceux dont la voix n’est pas entendue, pour ceux qui ont été abattus par la matrice etc. Nous sommes des personnes pleines de compassion et les individus marginaux ont souvent besoin de plus d’amour. Les gens peuvent ressentir nos coeurs aimants, donc il arrive souvent que de parfaits étrangers nous racontent leur vie ou nous soumettent leurs problèmes. Il est bien évident que nous ne voulons pas devenir une décharge publique pour les problèmes de tout le monde, mais nous sommes des personnes qui avons une bonne écoute pour les gens ayant des problèmes.
7. Si nous n’apprenons pas à établir nos propres limites, nous pouvons nous fatiguer facilement de porter les émotions des autres. Les vampires d’énergie sont attirés par nous, alors nous devons être très vigilants, en nous protégeant de temps en temps.
8. Malheureusement, de nombreuses personnes sensitives ou empathiques se tournent vers l’abus de drogue ou d’alcool, afin de bloquer un peu leurs émotions et de se «protéger » pour ne pas ressentir la souffrance des autres.
9. Nous devenons tous des guérisseurs. Nous sommes attirés vers les modes de guérison tels que l’acupuncture, le Reiki, le Qi-Gong, le yoga, les massages ou le travail des sages-femmes etc. Nous connaissons le besoin collectif d’être guéri, alors nous faisons de notre mieux pour offrir la guérison, de la meilleure façon que nous pouvons. Nous nous éloignons aussi des formes « traditionnelles » de guérison pour nous-mêmes. Nous préférons les aliments naturels, les herbes et la médecine holistique pour nous guérir de tout malaise.
10. Nous voyons les potentiels, avant que les autres les voient. Tout comme l’Église a dit à Copernic qu’il avait tort, mais qu’il a maintenu sa théorie héliocentrique, nous savons ce que les masses refusent de croire. Nos esprits sont des années-lumière en avance.
11. Nous sommes créatifs. Nous chantons, nous dansons, nous peignons, nous inventons ou nous écrivons. Nous avons une imagination étonnante.
12. Nous avons besoin de beaucoup plus de solitude que la moyenne des gens.
13. Nous pouvons nous ennuyer facilement, mais nous sommes parfaitement capables de nous amuser nous-mêmes.
14. Nous avons de la difficulté à faire les choses que nous ne voulons pas faire ou que nous n’aimons pas faire. Nous croyons vraiment que la vie doit être une expression de joie. Pourquoi gaspiller du temps à faire quelque chose que vous détestez ? Nous ne sommes pas paresseux, nous sommes perspicaces.
15. Nous avons l’obsession de mettre la vérité en lumière. Tout comme les enfants qui disent, « ce n’est pas juste » nous voulons corriger les injustices du monde et nous croyons que, très souvent, cela ne nécessite que de l’éducation. Nous tâchons d’expliquer l’inexplicable et nous trouvons des réponses aux questions profondes de la vie. Nous sommes des chercheurs dans le paradigme « Campbellien » : « The Hero With a Thousand Faces ».
16. Nous avons de la difficulté avec le temps. Notre imagination prend souvent le dessus et une journée peut être ressentie comme une minute, une semaine ou … une journée.
17. Nous détestons la routine.
18. Nous sommes souvent en désaccord avec l’autorité (pour des raisons évidentes).
19. Nous sommes souvent gentils, mais si les gens sont égoïstes ou impolis, nous ne passons pas de temps avec eux ou nous trouvons une excuse pour ne pas être en compagnie de gens qui sont obsédés par eux-mêmes. Nous ne comprenons pas les gens qui sont insensibles aux sentiments des autres ou au point de vue des autres.
20. Il se peut que nous soyons végétariens, parce que nous ressentons une certaine énergie dans les aliments que nous mangeons, nous ressentons aussi si un animal a été tué de façon inhumaine. Nous ne voulons pas consommer d’énergie négative.
21. Nous affichons nos émotions et nous avons de la difficulté à « prétendre » être heureux, si nous ne le sommes pas. Nous évitons la confrontation, mais nous changeons doucement le monde, sans que les autres s’en aperçoivent.
Ces 21 caractéristiques démontrent à quel point il est important de maintenir notre conscience, notre clarté et notre force présentement.
Au sujet de l’auteur
Christina Sarich et une musicienne, un yogi, humanitaire et écrivaine qui canalise de nombreuses heures d’études de Lao-Tseu, de Paramahansa Yognanda, Rob Brezny, Miles Davis et Tom Robbins en informations intéressantes, afin de vous aider à Éveiller Vos Têtes Endormies et à voir la Grande Perspective. Son blog est : http://yogaforthenewworld.com/ et son tout récent livre est « Pharma Sutra » : Guérison du corps et de l’esprit par l’art du yoga.
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La voix intérieure
Si vous avez découvert votre vérité au fond de vous-même, il n’y a alors rien d’autre à découvrir dans toute cette existence. La vérité se manifeste à travers vous. Lorsque vous ouvrez vos yeux, c’est la vérité qui ouvre ses yeux, lorsque vous fermez vos yeux, c’est la vérité qui ferme ses
yeux.
Ceci est une méditation extraordinaire. Si vous pouvez simplement en comprendre le principe, vous n’avez rien à faire du tout, tout ce que vous faites est accompli par la vérité. Vous marchez, c’est la vérité en mouvement, vous dormez, c’est la vérité au repos, vous parlez, c’est la vérité qui s’exprime, vous êtes silencieux, c’est la vérité qui est silencieuse.
C’est l’une des techniques de méditation les plus simple. Lentement, lentement, tout se met en place avec cette formule simple, il n’y a alors plus besoin de la technique.
Lorsque vous êtes guéri, vous jetez la méditation, vous jetez le médicament. Vous vivez alors en tant que vérité ; vivant, irradiant, contenté, béat, un chant à vous-même. Votre vie tout entière devient une prière sans aucun mot ou mieux de dire, un état de prière, une grâce, une beauté qui n’appartient pas à notre monde terrestre, un rayon de lumière venant de l’au-delà et pénètrant les ténèbres de notre monde.
Il y a des moments dans notre vie où un grand nombre de voix semblent nous tirailler par ici ou par-là. Notre confusion dans ces situations est un rappel à rechercher le silence et l’équilibre en nous-même. Alors seulement sommes-nous à même d’entendre notre vérité.
[Osho]
Article très intéressant….
Soigner par l’énergie
Soigner par l’énergie est une démarche globale. Plus nous sommes en accord avec nos besoins personnels, plus l’énergie s’écoule librement en nous. Une énergie qu’il nous appartient de nourrir et qui concerne tous les
aspects de la vie.
Dès que l’être humain commence à vieillir, et il commence à vieillir dès qu’il naît, il fait l’expérience de diverses atteintes à son corps. Des chutes, des coups, des accidents. Des maladies bénignes, graves ou chroniques. Des fatigues, des épuisements. Ces atteintes nécessitent des soins. or, les atteintes du corps sont très majoritairement traitées par le biais… du corps ! Les thérapies dites «énergétiques» restent minoritaires et pionnières. Il est pourtant probable qu’elles soient appelées à devenir la médecine de demain.
En effet, la conception même de la matière, et donc du corps, se transforme peu à peu, suite aux avancées scientifiques du dernier quart de siècle. Matière et énergie ne sont pas distinctes : c’est désormais admis par tout un chacun. Curieusement, en médecine, les conséquences de cette révolution ne suivent pas ! La médecine «classique» n’intègre pas encore la notion d’énergie dans sa définition, sa représentation et ses soins de l’être humain. Conséquence : les approches médicales qui mettent l’énergie au centre de leur pratique sont finalement peu reconnues et utilisées dans nos pays. L’acupuncture et l’homéopathie font certes partie de notre paysage médical familier, mais une forme de hiérarchie favorable à la médecine allopathique est cependant encore à l’oeuvre, puisque les remboursements de la sécurité sociale ne sont pas égaux.
Et pour moi, l’énergie ?
Que dire alors des autres thérapies «énergétiques» ? Que dire de ces approches qui prétendent soigner le corps physique par le bais du magnétisme, de l’énergie «canalisée» par des guérisseurs ? Que dire du Reiki ? Que dire des «chakras», des «corps subtils», des «auras», notions qui gardent un parfum exotique et quelque peu suspect dans bon nombre d’esprits ? De toute évidence, ces approches ne passent pas encore tout à fait la rampe de ce qui est «politiquement» correct en médecine… et il est vrai que l’on est en droit, en tant que patient, de se poser la question de la pertinence de ce type de soins, tout autant que du sérieux des guérisseurs qui les pratiquent.
Mais si le guérisseur est en droit d’être questionné quant à sa pratique, le patient a, lui aussi, un devoir de questionnement personnel. Car une réflexion minimale s’impose afin de se situer, soi, par rapport à la question de l’énergie. La question à se poser est finalement assez simple, du moins dans sa forme : «Quel est le rapport entre l’énergie, mon corps et moi ?». Que croyons-nous, que sentons-nous, que savons-nous ou ne savons-nous pas par rapport à l’énergie ? Non pas l’énergie conçue de façon abstraite, mais l’énergie en lien avec nous, notre corps, nos sentiments, nos émotions ? Comment se situe-t-on par rapport à cette question ?
…pas une poudre de perlimpinpin…
Nous avons sans doute lu que dès 3000 ans avant J-C, l’énergie est appelée «Chi» par les chinois, nous savons sans doute quelque chose par rapport aux énergies complémentaires yin et yan, ou encore nous savons que le «prana» hindou est le souffle de vie constitutif de l’univers et qu’il s’agit d’une notion centrale dans la médecine ayurvédique et dans le yoga. Mais que disent ces approches millénaires ? Elles disent quelque chose de très simple : l’énergie anime toute chose. Donc, l’énergie nous anime. Ce n’est pas différent de ce qu’expriment les physiciens actuels. L’image d’un monde solide éclate, au profit d’un monde composé d’ondes interconnectées dont l’observateur même n’est pas dissocié. tout, dans cette interconnectivité d’énergies, est relié, inséparable et dynamique. Bref, l’énergie tisse le monde… et nous faisons partie de cela.
C’est cela qu’il importe prioritairement de réaliser. Ce n’est pas le corps qui contient l’énergie. Mais c’est l’énergie qui contient le corps. Le champ d’énergie existe avant le corps physique. La nuance est essentielle, peut-être parce qu’on peut déjà y pressentir la dimension sacrée qu’ont exprimée les spiritualités du monde entier. Nous ne pouvons pas «objetiser» l’énergie. Nous ne pouvons pas la traiter comme s’il s’agissait de cent grammes de poudre de perlimpinpin. Quelqu’un qui pense qu’il guérit quelqu’un d’autre avec «son» énergie s’approprie à tort la paternité d’une énergie qui, loin d’être «sienne», est au contraire universelle. un guérisseur plus conscient ne va pas utiliser l’énergie mais se rendre disponible afin de la laisser s’écouler à travers lui et à travers ses mains vers autrui.
Cette disponibilité au travail de l’énergie requiert une exigence importante, tant du point de vue du patient que du point de vue du guérisseur. Car il s’agit de ne pas «se» mettre au travers de l’énergie, avec ses envies, ses craintes, ses croyances limitantes ou son égocentrisme. Il ne s’agit pas d’utiliser l’énergie, celle-ci étant omniprésente, dynamique et plus grande que soi. Il s’agit plutôt de se mettre, avec un respect infini, à son service.
Le Reiki
Le Reiki insiste sur la dimension de médiateur de la personne qui «donne» le Reiki à une autre personne, ou mieux, qui renforce, qui rend consciente cette énergie chez l’autre, le Reiki étant déjà en chacun depuis toujours. Rappelons que le Reiki vient du shintoïsme ancien [le mot Reiki peut être décomposé en «Ki» », l’énergie vitale, et en «Rei», la conscience et l’énergie spirituelle qui connaît notre besoin spirituel].
Celui qui donne le Reiki est un médiateur, un passeur, un canal de l’énergie universelle. Il laisse en lui l’énergie s’écouler par les mains vers la personne qui le reçoit.
Le passeur d’énergie canalise l’énergie universelle et est autant bénéficiaire que le receveur. En effet, l’énergie universelle n’est jamais épuisable. Par ailleurs, le passeur ne travaille pas «sur» l’énergie. Celle-ci «sait» où aller, quelle déficience combler, quel organe soigner ; elle est intelligente et aimante. «Je considère», dit le maître japonais hiroshi Doi, «que le Reiki est une énergie de vibration très sensible que je qualifie de vibration d’amour, qui est diffusée continuellement par la conscience supérieure de l’univers».
toute personne peut soulager autrui, après une transmission par un maître Reiki qui a été lui-même initié dans la lignée de maîtres qui l’ont précédée. A noter que le mot «maître» [«Shihan »] signifie «enseignant» ou «maître d’école». Le Reiki n’est pas élitiste puisqu’il est à la disposition de tous. Alors pourquoi cette initiation ? «Principalement pour le rendre conscient, le renforcer. Le renforcer en union avec toute cette lignée de sages shintos et de boddhisattvas compatissants. En rendant consciente et donc puissante et opérante cette Energie de vie en nous, nous remplissons tout simplement notre mission d’être humain. Qu’avons-nous à faire sur la terre ? Sinon être l’incarnation de cette force d’amour», écrit Myriam Krings, thérapeute énergéticienne et maître [enseignante] reiki1.
A la lecture de ces paroles, on comprend que donner le Reiki induit une démarche spirituelle. Le Reiki est une énergie curative parce que spirituelle. C’est, disent les sages, la motivation penspirituelle et la pureté de l’intention qui sont nécessaires pour la qualité de la pratique du Reiki. Notons aussi que le Reiki peut être associé au mot dont chacun désigne la source de l’énergie, que ce soit le chi des chinois, le prana des hindous, l’orgon de Wilhelm Reich en ce qui concerne le KI [l’énergie vitale], le pneuma des grecs, le Souffle ou Esprit-Saint des chrétiens, la Ruahr des musulmans, ou même la Puissance Supérieure des AA [en ce qui concerne le Rei : la conscience Supérieure de cette énergie]. En cela, le Reiki est particulièrement adapté à notre époque.
Le corps, la dernière étape du processus…
Les langages scientifiques et spirituels différents dans leurs formes sont identiques dans leur fond et font écho l’un à l’autre lorsqu’il s’agit d’énergie. Le physicien David Boehm dit de la matière qu’elle est une «concentration de lumière». La Kabbale ne signifie pas autre chose lorsqu’elle parle du rayonnement de la lumière [Aor] qui, à partir d’un point primordial, engendre l’étendue. René Guénon interprète, quant à lui, le «Fiat Lux» de la Genèse comme étant l’ordonnancement du chaos par vibration.
La matière procède… de l’immatériel. Quoi de plus immatériel en effet que l’énergie et la lumière ? La lumière est associée à l’énergie, tant dans le langage spirituel que scientifique. Ce monde, qui paraît parfois si gris et terne, est inclus dans la lumière, procède d’elle, est tissé par elle. Et ce n’est pas du rêve.
Vibrations, rayonnement, ondes lumineuses, tourbillonnent, se connectent, s’informent, et créent le tissu même de qui nous sommes. C’est dans la désorganisation de l’énergie et dans sa stagnation, dans les perturbations du champ d’énergie humain qui nous meut et entoure le corps tout autant qu’il le traverse, que la maladie débute. C’est en amont du corps solide que s’originent les dysfonctionnements. Le corps n’est que la dernière étape visible d’un processus commencé bien avant.
Tout ce qui nous constitue…
Le soin consiste, entre autres, à restaurer le bon fonctionnement de l’énergie, à l’équilibrer, à la dégager lorsqu’elle est bloquée, ceci en accord total avec la personne soignée. Il ne s’agit pas de la guérison d’une maladie, il n’y a pas «un» organe malade, mais il s’agit de la guérison d’une personne, étant donné que tout ce qui la constitue participe de l’énergie. Les sphères mentales et émotionnelles produisent des formes impalpables dans le monde concret mais néanmoins existantes dans l’invisible, que l’on a appelées et c’est finalement assez bien trouvé, des «formes-penssées». Celles-ci ont un effet direct sur notre santé physique.
Pour soigner une personne par le bais de l’énergie, il n’est pas nécessaire de «voir» l’énergie de la personne. on peut très bien être maître Reiki ou guérisseur et ne pas voir les auras. Mais les champs d’énergie qui parcourent le corps et dans lesquels il se trouve sont cependant visibles par certaines personnes. La plupart du temps, ces personnes sont dotées de cette faculté spontanément. Ce don fut en tous cas reçu par Barbara Ann Brennan, au départ physicienne. Sa formation de physicienne [elle a achevé une thèse de physique atmosphérique à la Nasa] lui donna le besoin d’observer, d’étudier et d’accumuler des données sur ce phénomène de perception spontanée et sur le travail de guérisseuse auquel elle se consacre depuis plus de quinze ans. Ces livres recèlent des descriptions claires et intelligentes du fonctionnement des champs d’énergie humaine généralement appelées «auras» et des processus de guérison grâce à l’énergie.
Sept corps simultanément
Dans les milieux scientifiques, on a donné à l’aura les noms de «biochamp» et «bioplasma». Le biochamp est l’énergie des organismes vivants dont les vibrations se comptent en fréquences. Ces nouvelles dénominations, moins connotées que le mot «aura», ont été émises suite aux découvertes de l’institut A. S. Popow et des scientifiques soviétiques, découvertes confirmées par l’Académie des Sciences de Moscou et bien reçues en Grande-Bretagne, Allemagne et Pologne.
Ceci dit, il existe de nombreux systèmes de descriptions de l’aura du corps humain. tous la divisent en couches, sept généralement, dont les premières semblent plus aisées à percevoir, et dont les dernières nécessitent un niveau de conscience plus élevé. Ce qu’en dit Ann Brennan : «En réalité, chaque corps ne s’étale pas en couche, au sens où nous l’entendons communément. Il s’agit plutôt d’une version expansive de notre moi… Nous sommes dotés de sept corps, occupant le même espace en même temps, s’étendant chacun au-delà du précédent…».
Des roues qui tourbillonnent
Ces couches, apprend-on, sont très structurées. Elles représentent, dans notre système d’énergie, «des lieux spécifiques pour les sensations, les émotions, les pensées, les souvenirs et les expériences non physiques. La compréhension du rapport entre nos symptômes physiques et ces lieux nous aide à comprendre la nature de différents troubles». Dans la première couche, associée aux fonctions physiques, existent non seulement toutes les formes extérieures du corps physique mais aussi les vaisseaux sanguins, les poumons, etc…, bref tous les organes internes.
La description de Barbara Ann Brennan continue par l’évocation d’un flux d’énergie vitale que l’on voit pulser dans la moelle épinière. Il traverse verticalement l’être humain, dépasse en dessous le coccyx et au-dessus la tête. Sur cette colonne verticale d’énergie sont «plantées» des ouvertures. Cette description, signalons-le, est conforme à celle des chakras de la tradition hindoue, les chakras signifiant «roue». Ce nom est d’ailleurs tout à fait adéquat ; les chakras sont effectivement perçus par la guérisseuse comme des petites roues ouvertes en forme de cônes entourées de petits tourbillons [les «pétales » des chakras dans la tradition] qui tourbillonnent et qui permettent au flux du champ de l’énergie universelle de s’écouler à travers eux et de circuler dans l’aura et hors de l’aura.
Ces sept chakras, parce qu’ils reçoivent et transmettent l’énergie, servent à vitaliser le corps. Ils gouvernent chacun une zone du corps, sont chacun associés à une glande endocrine et à un système nerveux majeur. Le chakra absorbe l’énergie universelle, l’envoie par les nadis [qui sont les veines énergétiques par où circule l’énergie dans le corps] dans le système nerveux et aux glandes endocrines, puis au sang pour nourrir le corps.
Une hygiène énergétique
Le travail du «passeur» d’énergie a plusieurs modalités. Mais la plus courante consiste à recevoir l’énergie universelle et à la laisser couler par les mains vers la personne par le bais des chakras. une autre pratique, la «chélation », consiste à nettoyer l’aura et à la remplir d’énergie propre. En effet, l’aura peut être encrassée, épaisse et déséquilibrée à certains endroits du corps.
Signalons que l’énergie d’un lieu, un appartement, une pièce, un immeuble peut également être encrassé et envahi d’une énergie morte. Il est alors conseillé de le purifier par des méthodes de fumigations de sauge et de cèdre notamment, tels que le faisaient les Indiens d’Amérique ou, plus simplement, par des encens, ou à l’aide de générateurs d’ions négatifs ou encore en déposant des cristaux dans la pièce, préalablement trempés dans un demi-litre d’eau de source salée au sel marin pendant une nuit. Pas de pièce sans ventilation, pas de néons fluorescents non plus, sous peine d’affaiblir les vibrations énergétiques.
Puisque nous sommes dans le domaine très concret de l’hygiène énergétique, et pour en revenir au corps, selon les énergéticiens, il est possible de… nettoyer et de recharger son aura. Si l’énergie morte s’est accumulée, il est conseillé de prendre un bain pendant vingt minutes, additionné d’un demikilo de sel marin et de la même quantité de bicarbonate de soude !! Même si ce bain particulier fatigue la personne, il semble procurer une belle sensation de propreté et de légèreté. Ce nettoyage peut être suivi d’une dizaine de minutes d’exposition au soleil si le temps le permet, ce qui a pour effet de recharger l’énergie de l’aura.
Besoins non respectés = blocages d’énergie
Ces recettes énergétiques sont quelque part rassurantes quand on sait que l’aura peut produire une sorte de «mucus » énergétique brunâtre et épais. Elle peut être terne, délavée, piquetée de tâches grisâtres, ce qui révèle un état de très grande faiblesse. Elle peut aussi être déchirée ou trouée. En effet, l’individu évite la souffrance le plus possible en élaborant des défenses énergétiques ; il «bouche» alors toutes les issues, ne bouge plus, se crispe.
Qui n’a connu dans sa vie cette sensation d’être tout à coup rétracté pour éviter d’avoir mal ? Et ainsi, peu à peu, en élaborant des défenses énergétiques, nous perdons de vue nos réels besoins et nos désirs, autrement dit ce qui nous met en vie. Les frustrations, les rétrécissements, les raidissements, les dénis de qui nous sommes, endommagent l’accès et la réceptivité à l’énergie. Autrement exprimé : nous manquons d’amour. Nous n’avons pas réellement de compassion, de tendresse et de respect envers qui nous sommes. S’ajoutent à ces terribles dénis de soi-même, des chagrins comme les deuils d’êtres proches qui, d’après les clairvoyants, causent des déchirures importantes dans les corps énergétiques.
Aussi la guérison énergétique s’apparente- t-elle à une odyssée vers soimême et à des retrouvailles progressives avec ses propres besoins. Que ce soit au niveau physique, personnel, relationnel, mental ou spirituel, un besoin non satisfait fait que l’énergie de notre organisme ne circule plus facilement. Elle stagne et nous envoie des messages d’inconfort. L’inconfort peut être interprété comme des appels à répondre à nos besoins non respectés.
Besoin satisfait = énergie libérée
Ce peut être un des aspects de la tâche d’un thérapeute énergétique d’encourager le patient à s’écouter lui-même : «Les guérisseurs ne se contentent pas de remplir les fréquences manquantes du champ d’énergie, ils enseignent aussi aux patients comment les métaboliser eux-mêmes, en leur faisant comprendre qu’ils se trahissent en se refusant ce qu’ils souhaitent le plus dans leur vie» [ibid.]. Ceci suppose une écoute intelligente et aimante de soi-même aboutissant à des actions sensées ajustées à nos besoins… qui peuvent déboucher sur la réforme de certains aspects de notre vie. Et cette écoute est à refaire continuellement, vu que des situations nouvelles se présentent à chaque âge.
La santé s’améliore remarquablement dès qu’un besoin ou un désir fondamental est satisfait : l’énergie coule à nouveau de façon fluide. Ceci dit, il ne s’agit évidemment pas de s’abandonner à des besoins captateurs où l’avidité règne en maître. Ecouter ses besoins et ses désirs signifie que nous respectons tout simplement de façon personnelle ce qui nous met du côté de la vie. Nous respectons comment la vie se manifeste à travers nous.
Ce qui nous entoure nous nourrit
Nous pouvons donc tenter d’avoir la meilleure vie possible, chacun en fonction de qui il est. L’énergie nourrit notre corps et tous les systèmes de notre corps. Sans elle, nous nous retrouvons dénutris en quelque sorte. Aussi le bon sens est-il d’en prendre soin, ce qui suppose un processus d’observation, de prise de conscience, d’évolution.
L’énergie qui nous nourrit nous vient de ce qui nous entoure : les sons, les odeurs, les couleurs, les formes, les matières, l’air, l’eau, le feu, la terre. L’énergie est… partout. Et elle nous est donnée. Elle s’écoule à travers chacun d’entre nous. Mais nous la recevons différemment. Nos différences font que nous avons des goûts énergétiques spécifiques. L’un aime la montagne, l’autre la mer, le troisième le soleil, le quatrième le désert, le cinquième la ville, etc… Nos préférences nous indiquent où aller pour que l’énergie soit à son meilleur niveau. Nos goûts nous enseignent sur ce qu’il nous convient de mettre prioritairement dans nos vies.
Affiner notre perception…
Il nous appartient aussi de raffiner nos sens extérieurs pour éveiller nos sens intérieurs. Car nos sens externes sont limités. Quoique merveilleux à bien des égards, ils sont «grossiers» et s’arrêtent à la couche la plus «extérieure» du monde. Mais ils restent néanmoins des prodigieux capteurs d’énergie que nous pouvons exercer à davantage de finesse pour aller vers l’appréhension progressive de plans plus subtils.
Nous pouvons passer toute notre vie à affiner notre perception de la réalité. une réalité qui n’est pas seulement «grossière», mais une réalité tissée de lumière et d’énergie. La réalité matérielle et la réalité lumineuse sont une seule et même chose, mais ne nous apparaît pas comme telle. Les sons et les couleurs, les odeurs et les goûts sont autant de ponts vibratoires qui nous font voyager de l’un à l’autre. Chacun empruntera les voies qui lui conviennent, et elles sont nombreuses.
Notons aussi que toutes les techniques corporelles qui dissolvent les «cuirasses musculaires» et les blocages sont extrêmement bénéfiques pour libérer le flux énergétique ralenti et stagnant. Citons les massages, le rolfing, le travail sur les cuirasses musculaires, l’antigymnastique, le stretching, le travail sur les chaînes musculaires, l’intégration posturale. Des échanges énergétiques peuvent de nouveau avoir lieu parce que certaines tensions sont dissoutes.
Pulsations
L’énergie nous meut et nous anime. Elle nous dépasse infiniment. Elle nous comble. Elle nous crée quotidiennement. Sachons-le. Sentonsle. Soyons dans la gratitude de cette formidable force universelle qui soutient tout. Soyons dans la conscience que les barrières entre le visible et l’invisible ne sont qu’apparences et que fondamentalement tout n’est qu’un immense champ d’énergie consciente.
Les barrières entre la vie et la mort même sont illusoires. Mais oui : la lumière existe, n’en doutons plus. Nos corps énergétiques les plus élevés ne meurent pas. Leurs hautes vibrations continuent à pulser alors que nos corps de matière grossière se décomposent. Il n’y a qu’énergie : elle est synonyme d’une vie au-delà de toutes les séparations. Nos pulsations et les pulsations cosmiques sont une seule et même chose. Le vivre, c’est guérir pour toujours.
Marie-Andrée Delhamende
Quand je partirai. Texte Hawaïen.
Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller
Même s’il me restait encore des choses à voir et à faire.
Ma route ne s’arrête pas ici.
Ne vous attachez pas à moi à travers vos larmes.
Soyez heureux de toutes les années passées ensemble.
Je vous ai donné mon amour,
Et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous m’avez apporté.
Je vous remercie pour l’amour que vous m’avez témoigné
Mais il est temps maintenant que je poursuite ma route.
Pleurez-moi quelques temps, si pleurer il vous faut.
Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie
Car c’est pour un moment seulement que nous nous séparons
Bénissez donc les souvenirs qui sont dans votre coeur.
Je ne serai pas très loin, car la vie se poursuit.
Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher.
Je serai près de vous.
Et si vous écoutez avec votre coeur,
Vous percevrez tout mon amour autour de vous dans sa douceur et sa clarté.
Et puis, quand vous viendrez à votre tour par ici,
Je vous accueillerai avec le sourire
Et je vous dirai : « bienvenue chez nous ».
GRATITUDE
Je remercie l’univers
Pour tout ce qui m’a offert.
Je me remercie moi-même,
Et je me dis :
Je t’aime.
être divin que je suis,
J’expérimente la densité
Dans ce monde de dualité,
En sachant pertinemment
Que ce n’est qu’un leurre.
Cela est nécessaire à l’expérimentation
De la personnalité transitoire.
Le Je est divinement bien conçu.
A tel point,
Que l’on se prend vite au Jeu
En vivant dans la culpabilité
De se croire séparer de qui nous sommes.
Détrompez-vous,
Il ne vous ai pas nécessaire de souffrir
Pour vous en sortir.
Nous sommes tous ni plus ni moins,
Des êtres magiques et magnifiques
Endormi pour l’occasion
Dans cet univers mirifique.
Nous faisons l’expérience de ce que nous ne sommes pas,
Pour enfin découvrir de nouveau, pas à pas,
Notre chère lumière intérieure
Qui ne nous a jamais quittés.
Ce Jeu est une occasion unique
De faire rayonner à chaque instant,
Cet amour transcendant.
Il ne demande qu’à s’exprimer
A travers notre être d’incarnation.
Dans l’ici et le maintenant,
Prenez conscience de ce rayonnement infini
Semblable à un soleil éternel,
Et vous finirez par être dans cette paix
De plus en plus souvent.
Une douce chaleur envahira votre être.
Je souhaite à tous de vivre cette expérience de toute beauté.
NAMASTE
L’ ECOUTE ATTENTIVE :
– C’est resté centré sur la personne, lui apporter de l’attention.
– Faire preuve d’empathie ( faculté de se mettre à la place d’autrui et de percevoir ce qu’il ressent ).
– Etre synchronisé : se mettre « sur la même longueur d’onde ».
– Faire preuve d’assertivité : aptitude qui permet de dire son point de vue aux autres et de le défendre sans agressivité.
LES PRINCIPES DE L’ECOUTE ATTENTIVE :
– Laisser parler l’autre : comment écouter si l’on est en train de parler ?
– Mettre à l’aise son interlocuteur.
– Montrer que l’on veut écouter, que l’on s’intéresse ( ne pas faire autre chose en même temps ).
– Eviter toute distraction.
– Se mettre à la place de l’autre pour comprendre son point de vue : user d’empathie.
– Etre patient : ne pas interrompre.
– Rester calme : s’énerver n’est ni le lieu ni le temps.
– Ne pas faire de critique agressive : cela entraîne des comportements de défense.
– Poser des questions : cela montre que vous écoutez et encourage à continuer. Cela permet de développer d’autres points.
– Toujours être attentif à l’autre.
LES BIAIS DE LA COMMUNICATION :
Entre ce que je pense,
Ce que je veux dire,
Ce que je crois dire,
Ce que je dis,
Ce que vous voulez entendre,
Ce que vous entendez,
Ce que vous croyez comprendre,
Ce que vous voulez comprendre,
Et ce que vous comprenez.
Cela fait, au moins, 9 possibilités de ne pas s’entendre.
Pour une communication efficace, il est utile d’avoir au minimum 2 individus ayant une réelle volonté d’échanges, d’écoute et de respect …
A bon entendeur!!!.
L’AMOUR
Amour libérateur (aimer véritablement)
C’est :
– Respecter mon espace et celui de l’autre
– Me donner le droit ainsi qu’aux autres d’être humain, c’est-à-dire d’Avoir : des besoins, des attentes, des limites, des désirs, des peurs, des faiblesses
– Accepter même si je ne suis pas d’accord ou même si je ne comprends pas.
– Diriger et guider sans attentes
– Donner pour le plaisir de donner sans attentes.
L’Amour véritable commence là où il n’attend rien en retour. Saint Exupéry
Amour prisonnant (vouloir être aimer)
C’est :
– Ne pas respecter mon espace, ou celui de l’autre
– Vouloir me changer ou changer les autres
– Décider sans vérifier les besoins de l’autre
– Donner en espérant recevoir de l’autre.
Poèmes de l’empereur Meji
13: L’esprit (kokoro)
Quoiqu’il arrive
Dans toute situation
Mon vœu est que
(Dans toutes les dimensions)
L’Esprit (kokoro) demeure
Sans limites (libre)
12: Les enfants
Il arrive que parfois dans ce monde
Le vent fasse trembler la maison
Mais on surmonte les ennuis
Si les branches(les enfants) de
L’arbre(la famille)
Poussent harmonieusement.
11: En général,
Si vous venez
D’un milieu aisé
Et sans problèmes personnels
Vos obligations humaines
Sont facilement oubliées.
10: La vague
Un moment agité
L’autre moment calme
La vague dans l’océan
Est en fait
Semblable à notre existence.
9: Un pin sur un rocher
Dans ce monde agité
L’esprit de l’Homme
Demeure aussi immobile
Que le pin
Enraciné dans le rocher.
8; L’Amitié
Etre amis,
Pouvoir se montrer
L’un et l’autre nos erreurs
Tel est le véritable sanctuaire
De l’Amitié.
7;En général
Il y a tant de culpabilité
Dans ce monde
Ne t’en inquiète
Pas trop.
6; Je n’ai besoin
De me mettre en colère contre les
Cieux
Ou de blâmer
Les autres (pour mes peines)
Si je vois mes propres fautes.
5; En général
Comprends (la vie) en
Observant comment le rocher a été
Creusé par la pluie
Ne t’accroche pas à l’illusion
Que rien ne change.
4; Le bruissement des feuilles mortes
Il faut tant de pluie
Pour donner cette couleur parfaite
Aux feuilles d’érable
Mais elles sont balayées
Par un simple coup de vent.
3; En général
Lorsque je pense aux
Fermiers souffrants
Dans les rizières
Je ne peux affirmer qu’il fait chaud
Même si cela est vrai.
2; Le ciel
Vert pâle et sans nuage
Tel est le ciel
Moi aussi j’aimerai avoir
Un tel esprit(kokoro).
1; La Lune
Un grand changement survient
Car tant de gens
Ont quitté ce monde
Mais la lune dans
La nuit automnale
Reste toujours la même.
extrait d’Eckhart Tolle : Page 208 du livre Nouvelle Terre
La respiration
Vous pouvez découvrir l’espace intérieur en ménageant des pauses, des intervalles, dans le flot des pensées. Sans ces intervalles, la pensée devient répétitive, sans inspiration, dénuée de toute étincelle créative. C’est la réalité de la plupart des gens sur cette planète. Ne vous préoccupez pas de la durée de ces intervalles. Quelques secondes suffisent. Peu à peu, ces pauses se prolongeront toutes seules, sans aucun effort de votre part. Chose plus importante que leur longueur, il faut les inviter fréquemment de manière à émailler d’espace vos activités quotidiennes et vos pensées.
Récemment, quelqu’un me fit voir la brochure annuelle d’une importante organisation spirituelle. Je fus impressionné par la vaste sélection de colloques et d’ateliers qu’elle proposait. Ça me rappela un smorgasbord, ce buffet scandinave où vous choisissez ce qui vous plaît parmi une myriade de plats plus alléchants les uns que les autres. La personne qui m’avait tendue cette brochure me demanda si je pouvais lui recommander un ou deux cours. « Je ne sais pas, dis-je. Ils ont tous l’air très intéressants. Mais ce que je sais, ajoutai-je, c’est que vous devez être consciente de votre respiration aussi souvent que vous le pouvez, aussi souvent que vous vous en souvenez. Si vous faites cet exercice pendant un an, la transformation sera bien plus puissante que si vous suiviez tous ces cours, En plus, c’est gratuit. »
Quand vous prenez conscience de votre respiration, l’attention se détache des pensées, ménageant ainsi de l’espace. C’est une des façons de susciter la conscience. Bien que la totalité de la conscience se trouve déjà dans le non-manifeste, nous sommes cependant ici pour conduire la conscience dans cette dimension.
Alors, soyez conscient de votre respiration. Remarquez la sensation créée par la respiration. Sentez l’air entrer et sortir dans votre corps. Remarquez l’expansion de la poitrine et de l’abdomen quand vous inspirez et leur légère contraction quand vous expirez. Une seule respiration consciente suffit à ménager de l’espace où il n’y avait auparavant qu’un flot ininterrompu de pensees. Prendre très souvent une respiration consciente (deux ou trois seraient encore mieux) durant la journée est une excellente façon de créer de l’espace dans votre vie. Même si vous méditiez pendant des heures sur votre respiration, ce que certaines personnes font, tout ce dont vous devez prendre conscience, et dont vous pouvez effectivement être conscient, c’est d’une respiration. Le reste n’est que souvenir ou anticipation, autrement dit, pensée. La respiration n’est pas quelque chose que vous faites, mais quelque chose dont vous êtes le témoin pendant que cela se passe. Point besoin d’effort. Remarquez également la petite pause dans la respiration, en particulier à la fin de l’expiration, avant de reprendre une autre inspiration.
Chez beaucoup de gens, la respiration est très superficielle, ce qui n’est pas naturel. Plus vous êtes conscient de votre respiration, plus sa profondeur naturelle reviendra.
Étant donné que la respiration n’a pas de forme, elle est associée depuis toujours à l’esprit, à la Vie unique et sans forme. Dieu forma l’homme à partir de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant. » Le mot allemand atinen, qui veut dire respirer, vient du sanskrit atmau, qui veut dire l’esprit divin qui réside en nous, Dieu.
Le fait que la respiration n’ait pas de forme est une des raisons pour lesquelles la conscience de la respiration est un moyen extrêmement efficace pour faire de l’espace dans votre vie, pour générer de la conscience. C’est un excellent objet de méditation précisément parce qu’elle n’est pas un objet, qu’elle n’a pas de forme. L’autre raison est que la respiration est un des phénomènes les plus subtils et apparemment insignifiants, la » plus petite chose » qui, selon Nietzsche, crée le plus grand bonheur. Pratiquer l’observation consciente de la respiration sous forme de méditation formelle ou pas est un choix personnel. La méditation formelle, cependant, ne peut remplacer la pratique qui permet d’amener la conscience de l’espace dans le quotidien.
En étant conscient de votre respiration, vous êtes automatiquement ramené dans le moment présent, la clé de toute transformation intérieure. Chaque fois que vous êtes conscient de votre respiration, vous êtes absolument présent. Vous remarquerez peut-être aussi que vous ne pouvez en même temps penser et être conscient de votre respiration. La respiration consciente arrête les pensées. Mais au lieu d’être en transe ou à moitié endormi, vous êtes totalement éveillé et hautement vigilant. Vous ne tombez pas en dessous des pensées, vous vous élevez au-dessus d’elles. Et si vous y regardez de plus près, vous découvrirez que ces deux choses « revenir pleinement au moment présent et cesser de penser sans perdre la conscience » ne sont en réalité qu’une seule et même chose: l’apparition de l’espace de la conscience.
La respiration,
Le travail avec la respiration commence
quand on sent de l’intérieur l’atmosphère de notre organisme.
C’est l’attitude de base à adopter envers nous-mêmes et envers le monde.
(inspiré de Le tao de la respiration de Dennis Lewis, un livre que j’ai traduit)
Quel est le rapport entre notre respiration et l’expérience que nous faisons de nous-mêmes, entre la respiration et la santé, le bien-être véritables? Quelle est le lien entre la respiration et notre quête de croissance personnelle et de connaissance de soi? Pour pouvoir répondre à ces questions, il ne suffit pas de participer à un atelier de rebirth ni encore de se mettre à faire des exercices trouvés dans un livre ou un magazine. Vu le rapport intime existant entre le corps et l’esprit, et les subtiles mais puissantes façons dont ils influent l’un sur l’autre, il faut avoir une compréhension intellectuelle bien claire du mécanisme de la respiration naturelle et de ses rapports avec nos muscles, nos émotions et nos pensées si nous voulons qu’le soit efficace et durable. La clarté de cette représentation intellectuelle nous aidera à devenir encore plus conscient de nos propres modes de respirer. C’est en étant attentif à ces façons de respirer que nous pourrons percevoir et sentir les diverses forces psychologiques à l’œuvre dans notre respiration, du passé aussi bien que du présent. Et ce n’est qu’en observant ces forces dans notre corps que nous commencerons à voir que nous nous servons de notre respiration comme d’un tampon pour étouffer les expériences et souvenirs physiques et psychologiques difficiles à affronter. Et, finalement, c’est grâce à tout ce processus – association de la clarté intellectuelle à la conscience sensorielle et émotionnelle – que nous commencerons à sentir l’extraordinaire pouvoir de la «respiration naturelle» et sa capacité à soutenir le processus de guérison et d’intégralité dans notre vie.
Agni, dieu du feu
C’est le dieu du feu sacrificiel et du foyer, protecteur contre le mal.
Représenté assis sur un bélier (animal sacrificiel par excellence), il est rouge, a deux visages, possède sept langues de feu (chacune ayant leur propre nom) et des dents d’or. Sept rayons de lumière émanent de son corps. Dans ses mains, il porte une hache (avec laquelle Durga combattra le démon-buffle), un lotus et un texte. Deux de ses mains soutiennent le monde.
A la fois dieu du feu réel et dieu du feu sacrificiel, c’est un intermédiaire entre les dieux et les hommes. Il reçoit les offrandes et les transmet aux divinités. Il est l’étincelle de la vie contenue dans chaque être vivant. Gardien du sud-est, il fait partie des dikpâla.
Il existe dix formes du feu, cinq formes naturelles, cinq rituelles : Agni le feu ordinaire, Indra la foudre, Surya le soleil, Vaishvanara celui qui pénètre toute chose, le feu destructeur du monde, le feu de l’immensité, le feu du Progéniteur, le feu du foyer domestique, le feu des ancêtres et le feu du bûcher funéraire.
Pourquoi pardonner?
Voir diaporama ci dessous
Prière du Cœur
Sachons rester tranquille un instant,
pour trouver dans le silence la paix du cœur et de l’esprit.
Rien ne nous attend, et nous n’attendons rien, sinon de nous laisser gagner par le silence intérieur qui va combler tous nos sens et nous imprégner de sérénité.
Alors, nous aurons notre juste place au sein d’un monde dont toutes les composantes sont étroitement associées.
Sachons mettre un terme aux notions de différences et d’antagonismes.
Demeurons immobiles pendant ce bref instant de méditation, afin que rien ne vienne perturber ce merveilleux équilibre que nous ressentons entre nous et l’univers.
Laissons-nous étreindre par la vie, comme par les bras d’un être très cher.
Une vielle légende hindoue
Une vielle légende hindoue raconte qu’il veut un temps où tous les hommes étaient des Dieux.
Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le Maitre des Dieux , décida de leur ôter leur pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver.
Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette.
Lorsque les Dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème , ils proposèrent ceci: – » en terrons la divinité de l’homme dans la terre ».
Mais Brahma répondit:
« Non, celà ne suffit pas car l’homme creusera et la trouvera ».
Alors les Dieux répliquèrent : « Dans ce cas , jetons la divinité dans le plus profond des océans ».
Mais Brahma répondit à nouveau : » Non , car tôt ou tard , l’homme explorera les profondeurs de tous les océans et il est certain qu’un jour, il la trouvera et la remontera à la surface ».
Alors les Dieux mineurs conclurent : « Nous ne savons pa où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d’endroit que l’homme ne puissent atteindre un jour ».
Alors Brahma dit : Voici ce que nous ferons de la divinité de l’homme : nous la cacherons au plus profond de lui même car c’est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher ».
Depuis ce temps- là, conclut la légende , l’homme a fait le tour de la terre, il a exploré , escaladé , plongé et creusé , à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui.
Par Eric Butterwoth.
L’espoir est un état d’esprit,
non pas un état du monde. Dans ce sens profond et puissant, ce n’est pas la même chose que la joie éprouvée parce que les choses vont bien ou la disposition à investir dans des entreprises qui de toute évidence sont vouées au succès. C’est une capacité à travailler pour quelque chose parce que cette chose est bonne.Vaclav Havel
Nous avons toujours le choix.
voir diaporama
Les Cristaux
Message de Little Grand Mother
Les cristaux, c’est connu, stockent l’intention ou l’information qu’on veut y placer. C’est connu surtout des scientifiques qui ont créé des montres, des ordinateurs et la »puce » intelligente.
La Terre Mère change en ce moment. Voyez-la comme une femme qui accouche… très puissante mais aussi dans une grande énergie de perturbation – ou contractions –
En ces temps extraordinaires, nous devons nous unir, ensemble et avec la Terre pour la soutenir… et pour notre propre devenir collectif. Il est dit partout que plus nous serons dans la Paix, dans l’Amour, la confiance, plus nous aidons la très forte transformation en cours.
Il nous est demandé, pour nous, de nous procurer un cristal. Même petit, la taille n’est pas importante, un vrai cristal et de le porter au cou. C’est le moment de nous reconnecter à notre Mère la Terre.
Un petit morceau de quartz sur un bout de cuir ou toute autre matière naturelle (pas de faux métal). Il peut être petit. Mettez-le aussi au cou de vos enfants, vos bien-aimé/e/s, de vos proches. La planète a besoin de sentir la présence aimante des humains et du cristal qui est »chargé ». Que son coeur et son lien avec nous – chacun de nous – soit renouvelé. Voilà le plus important que l’on puisse faire actuellement. Très important. Faites-le, comme une grande famille et portez-le, jour et nuit. Et il faut le faire maintenant. Rappelez-vous que ce cristal nous relie tous à l’énergie maternelle de notre Planète.
Avant de le placer autour de votre cou, tenez le cristal dans votre main et priez avec tout votre coeur pour la Terre-Mère ( tel que »prier » signifie pour vous ).
Toute votre bonté, avec le grand Moi qui s’éveille en chacun. Demandez d’être connectés, toute la race humaine, par le coeur, par le cristal à notre Mère la Terre, à son Amour, ses intentions et à sa Conscience. En tout Amour, portez un morceau de son corps – ce cristal- autour de votre cou, de sorte que l’énergie stockée dans les cristaux de toute la Planète vous soit transmise et qu’elle nous unifie.
S’il vous plaît, transmettez l’information à toutes les personnes que vous aimez. Que tous les humains, de toute race, rediffusent le message et que nous ne soyons plus qu’un, reliés plus intensément par ce cristal.
Enfants de la Terre, notre Mère, nous allons nous souvenir de qui nous sommes et enfin nous lever, pour défendre notre mère et nous-mêmes par l’Amour, grâce à l’Amour.
Nous sommes ceux que nous attendions et le temps est venu de nous unir et de nous réunir à la Terre Mère.
Laissons nos cœurs battre ensemble, comme un seul coeur.
Un petit cristal clair, voilà ce qu’il nous faut en toute première nécessité.
Quant aux cristaux plus gros que vous possédez peut-être chez vous… Sans le savoir, vous les aviez achetés pour ces temps-ci.
Il nous est demandé, aussi de manière » pressante » de les charger d’Amour pour la Terre, de toute notre bienveillance, de notre coeur ouvert et aimant… et de les mettre dans l’eau des cours d’eau autour de vous. Par l’eau, ils informeront vivement et puissamment la Terre de notre Amour, de notre confiance et de notre bienveillance envers elle.
Il suffit simplement de prendre le cristal, placez-le sur votre coeur et envoyez-y tout votre amour pour cette Mère en couches, comme vous le feriez pour votre femme, votre amie, votre sœur qui est en train d’enfanter. Ressentez votre Amour, votre gentillesse, votre bonté, cet espace en vous si pur, si bienveillant… et projetez ces énergies dans le cristal. Il s’agit d’une pile que vous chargez d’Amour… et croyez que c’est exactement ça !
Ensuite, allez les mettre dans l’eau. Vous saurez toujours qu’ils y sont… et ils vont tout de suite s’activer pour libérer votre amour et bonté dans l’eau .
Je rêve que nous serons des milliers de personnes à le faire et que toutes les eaux de la Terre seront touchées et transformées.
Ensemble, c’est grandiose… quand nous nous séparons des autres, nous ressentons un grand sentiment d’impuissance, mais ensemble, nous accomplissons des miracles. Alors, allons-y !
http://littlegrandmother.net/IMPORTANTCRYSTALMESSAGE.aspx – http://coeursdelumiere.blogspot.com/
Sourire
Après les instants gris, comme après la pluie, le sourire fleurit.
Quand le petit retrouve maman, il refleurit.
S’ils se content fleurette, il est toujours florissant.
Dans la pensée d’un agréable souvenir il surgit.
Sur le projet d’une belle rencontre, il est là.
Et maintenant paisible et détendu, je m’en pare.
Dans le sourire, il n’y a pas de souffrance.
Alors sourire me guérit….
Etienne M…
Si vous n’avez rien d’autre à faire,
regardez autour de vous et voyez s’il n’y a pas quelque chose à proximité que vous pourriez améliorer! Il se peut que cela vous rende riche, mais une chose est sûre: cela va vous rendre heureux.
Prendre soin de soi:
C’est le printemps, la « saison du foie ».
Engorgé après l’hiver, il faut le détoxifier pour lui permettre de nettoyer notre organisme. Ce qui vous évitera les coups de pompe, les maux de tête, les rhumes légers…
Pendant quelques jours, buvez beaucoup d’eau et faites une cure de plantes amères: romarin, artichaut, radis noir, pissenlit, fumeterre, et surtout chardon-Marie.
Vous pouvez faire des infusions, mais on trouve aujourd’hui facilement dans le commerce des extraits liquides de plante comme le jus de radis noir, des gélules de phytothérapie, des composés pour le foie.
Recette pour tous les jours
Copieusement, doser bonne humeur et philosophie, y délayer quelques soucis quotidiens avec une sacrée dose d’humour en évitant les grumeaux. Passer délicatement au filtre avec l’amour et la tendresse. Mouiller d’un peu d’eau de vie et de quelques souvenirs en prenant soin d’ôter l’amertume. Assaisonner d’un bouquet de patience. Ajouter à discrétion: brins de sagesse, graines de folie, piments de la vie, fruits de la passion et sel de l’aventure. Relevez d’une ou deux pincées d’amitié.Agrémenter d’un soupçon de fantaisie et d’une part de rêve. Remuer énergiquement, surtout, ne pas laisser reposer.Cuire à gros bouillons.
A CONSOMMER ET PARTAGER SANS MODÉRATION…
Prendre soin de soi:
Ce soir avant de vous endormir, posez simplement une main sur votre ventre pendant dix minutes. Peu à peu, sa chaleur et son magnétisme naturels vont détendre votre estomac et l’apaiser. Vous ressentirez un bien-être immédiat qui vous aidera à mieux vous endormir. Revitalisé, votre estomac aura plus d’énergie pour digérer dès votre réveil.
Le Don du Sourire.
Il ne coûte rien et produit beaucoup.
Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne.
Il ne dure qu’un instant, mais son souvenir est parfois immortel.
Un sourire, c’est du repos pour l’être fatigué, du courage pour l’âme abattue, de la consolation pour le cœur endeuillé.
C’est un véritable antidote que la nature tient en réserve pour toutes les peines.
Et si l’on refuse le sourire que vous méritez, soyez généreux, donnez le vôtre.
Nul en effet, n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne sait pas en donner aux autres.
Denis Douenat
Histoire de « l’Arbre à soucis
(auteur anonyme)
Un jour, j’ai retenu les services d’un menuisier pour m’aider à restaurer ma vieille grange. Après avoir terminé une dure journée au cours de laquelle une crevaison lui avait fait perdre une heure de travail, sa scie électrique avait rendu l’âme, et pour finir, au moment de rentrer chez lui, son vieux pick-up refusait de démarrer, je le reconduisis chez lui. Il demeura froid et silencieux tout au long du trajet. Arrivé chez lui, il m’invita à rencontrer sa famille. Comme nous marchions le long de l’allée qui conduisait à la maison, il s’arrêta brièvement à un petit arbre, touchant le bout des branches de celui-ci de ses mains.
Lorsqu’il ouvrit la porte pour entrer chez lui, une étonnante transformation se produisit.
Son visage devint rayonnant, il caressa ses deux enfants et embrassa sa femme.
Lorsqu’il me raccompagna à ma voiture, en passant près de l’arbre, la curiosité s’empara de moi et je lui demandai
pourquoi il avait touché le bout des branches de cet arbre un peu plus tôt.
« C’est mon arbre à soucis », me répondit-il. « Je sais que je ne peux éviter les problèmes, les soucis et les embûches qui traversent mes journées, mais il y a une chose dont je suis certain : ceux-ci n’ont aucune place dans la maison avec ma femme et mes enfants.
Alors, je les accroche à mon arbre à soucis tous les soirs lorsque je rentre à la maison. Et puis, je les reprends le matin.»
« Ce qu’il y a de plus drôle », sourit-il, « c’est que lorsque je sors de la maison le matin pour les reprendre, il y en a beaucoup moins que la veille lorsque je les avais accrochés. »
A vous d’en planter un ou mieux encore, désignez-en un autre en attendant qu’il pousse…
Pensée Zen
Remerciez à chaque instant de votre vie. Reconnaître que l’on est redevable de ce que nous possédons, de ce que les autres font pour nous, de ce que la
nature nous offre, c’est admettre la valeur de la Vie. La gratitude permet d’être à la fois serein et positif, puisque vous savez apprécier les bons moments, la nature, les
autres…C’est ressentir le plaisir de l’échange et du partage.
Toute la force, et l’art si subtil, de l’Ecoute
Écouter est, peut-être, le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un.
C’est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps :
« Tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là, tu vas m’enrichir car tu es ce que je ne suis pas… »
Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même, c’est d’être écoutée par un autre !
Écouter, c’est commencer par se taire…
Avez-vous remarqué combien les « dialogues » sont remplis d’expressions de ce genre :
« c’est comme moi quand… », ou bien « ça me rappelle ce qui m’est arrivé… ».
Bien souvent ce que l’autre dit n’est qu’une occasion de parler de soi !
Écouter, c’est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser habiter par l’autre.
C’est accepter que l’autre entre en nous-même, comme il entrerait dans notre maison et s’y installerait un instant, en prenant ses aises.
Écouter, c’est vraiment laisser tomber ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l’autre.
C’est comme une promenade avec un ami : marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s’arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui.
Écouter, ce n’est pas chercher à répondre à l’autre, sachant qu’il a en lui-même les réponses à ses propres questions.
C’est refuser de penser à la place de l’autre, de lui donner des conseils, et même de vouloir le comprendre.
Écouter, c’est accueillir l’autre avec reconnaissance, tel qu’il se définit lui-même, sans se substituer à lui pour lui dire ce qu’il doit être.
C’est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l’autre le temps et l’espace de trouver la voie qui est la sienne.
Écouter, ce n’est pas vouloir que quelqu’un soit comme ceci ou comme cela, c’est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques.
Être attentif à quelqu’un qui souffre, ce n’est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c’est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s’en libérer.
Apprendre à écouter quelqu’un, c’est l’exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos détresses…
Écouter, c’est donner à l’autre ce que l’on ne nous a peut-être jamais donné : de l’attention, du temps, une présence affectueuse.
C’est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, dans notre corps et toutes nos émotions, c’est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie, c’est devenir un poète, c’est-à-dire sentir le cœur et voir l’âme des choses.
A celui qui sait écouter, est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure de tout vivant, il commence à découvrir l’infini qui vit à la fois la richesse et l’originalité de l’autre.
C’est alors qu’il entrevoit combien la rencontre est source d’être et non pas d’avoir.
« Tu ne vaux que ce que valent tes rencontres, le seul luxe est celui des relations humaines » (Saint Exupéry).
C’est le seul luxe gratuit, car offert à la décision et à la liberté de chacun.
André Gromolard
(Prendre sa Vie en main)
Ecouter ce que l ‘Autre vous souffle
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